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Etude de structure préalable

C’est la première étape. La première brique qui consiste à déterminer les conditions de faisabilité pour garantir la solidité de la construction, alors même qu’elle est à l’état de dessin.
L’étude de structure préalable c’est un peu la première approche, le préambule pour que le travail à venir ait tout sa raison d’être.

Viendront ensuite plusieurs étapes de calculs, de plans et de vérifications. Pour l’heure on analyse le site et le projet. Et on confronte les deux.

Cette mission est incontournable pour tout projet à construire.
Ici on vérifie que le site et le projet seront compatibles ou plutôt à quelles conditions ils peuvent le devenir. Comment faire en sorte qu’un projet de construction soit implanté dans un site qui a toutes sortes de contraintes et de particularités. Sur la base d’un gros travail d’analyse, l’étude de structure préalable va ainsi fixer les règles du jeu qui seront observées pour de dimensionnement de la structure proprement dit lors de la phase suivante : l’Étude de structure de conception.

L’étude de structure préalable comporte deux volets. Il s’agit en fait deux phases réalisées quasi-simultanément :

 

L’Étude de Faisabilité (EF)

Réalisée au moment des études préliminaires, d’esquisse ou d’APS, l’étude de faisabilité va définir un modèle structurel préliminaire et les spécificités structurelles de l’ouvrage. C’est lors de cette étude de faisabilité que l’on établit aussi une première identification des risques majeurs. Tout se passe un peu comme si l’ingénieur structure s’évertuait à scanner tous les risques éventuels liés au site concerné par le projet de construction.
Là où d’autres s’enthousiasment pour le projet futur à peine esquissé il s’agit de prendre en compte toutes les éléments susceptibles de provoquer la mise à mal de la construction qui n’est pas encore sortie de terre.
Il analyse ainsi le contexte géologique général du site, l’historique des aménagements réalisés sur le site et aux alentours, sur la base de ce que lui fournit le client, ainsi que la présence d’avoisinants susceptibles d’être concernés pas le projet.

L’étude de Faisabilité va ainsi comporter certaines recommandations en vue de concevoir un ouvrage conforme aux normes en vigueur et adapté au projet, notamment les choix constructifs, les matériaux préférentiels et les erreurs à éviter. Car on ne construit pas n’importe quel projet dans n’importe quel environnement. Le respect des normes permet de garantir une intégration de la future construction instruction dans son environnement sans par exemple. Et de réaliser
Les risques naturels et environnementaux viennent ainsi très souvent directement impacter la conception de tout ouvrage.
L’étude de faisabilité est ainsi le point de départ des différentes études de structures successives nécessaires à la conception des ouvrages du projet.
Cette phase inclut donc :

  • une analyse du projet constructif,
  • une enquête visant à récolter des connaissances géologiques et environnementales disponibles sur le site,
  • et une visite du site et de ses alentours. Un acte indispensable pour effectuer un travail de qualité et relever d’éventuels éléments à prendre en compte le plus en amont possible si l’on veut éviter les mauvaises surprises et les surcoûts associés.

L’étude de faisabilité va ainsi réduire autant que possible les deux ennemis de toute construction encore en projet : les incertitudes et les risques.

La phase des Principes généraux de construction (PGC)

L’objectif de cette phase qui se déroule après l’Étude de faisabilité (EF) est de donner des recommandations structurelles adaptées au projet alors qu’on est toujours au stade de l’étude préliminaire ou d’esquisse ou d’APS de l’ouvrage.

Dans cette autre phase préalable on va ainsi tenir compte des contraintes environnementales telles que le vent et la neige, la géologie, les risques sismiques pour définir les principes généraux de construction envisageables.

Forte de sa nouvelle expertise concernant les constructions en terre, Structures Bâtiment peut travailler sur des projets intégrant la terre crue. Ce matériau présente en effet beaucoup d’avantages pour les maitres d’ouvrage et les architectes en quête de projets qui s’inscrivent dans la tradition de diverses régions et qui ont un moindre impact énergétique et écologique. Le pisé (terre crue) a l’avantage d’un faible impact carbone, de qualités intrinsèques très appréciées : inertie thermique, régulation hygrométrique, qualité acoustique, auxquelles s’ajoutent la réversibilité (déjà mise en œuvre, une terre peut être directement réutilisée) et un aspect esthétique intéressant
Sourcée localement parfois sur place, sur le chantier-même lors du terrassement, la terre crue est retravaillée en blocs dédiés à la construction avec des caractéristiques structurelles spécifiques.

La phase qui n’intègre pas d’ébauche dimensionnelle a un intérêt très précis pour le maitre d’ouvrage.
Cette phase de mission lui permet en effet d’effectuer un premier classement du futur ouvrage projeté dans une « catégorie d’importance et structurale » au sens de l’Eurocode 2 partie 1 et de son Annexe Nationale.

Pour résumer, la phase d’étude de structure préalable est loin d’être une étape anodine, même si aucun calcul n’est mené à ce stade. Sur la base des données collectées et relevées depuis plusieurs sources (visite de site, historique, documents fournis d’études existantes), on appréhende le contexte général d’un projet, on s’assure des normes à respecter et des solutions existantes pour rendre compatible un projet de construction sur un site particulier tant au plan du modèle structurel que du point de vue du contexte environnemental.
Cette étape permet de vérifier en fonction de l’ouvrage projeté, les risques structuraux et de réduire les conséquences des risques majeurs en cas de survenance et de définir les principes généraux de construction.

Dès lors, on va pouvoir démarrer le modèle structurel…

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